La cueillette du myrique baumier n’a rien d’industriel. Elle se fait à la main, au cœur des zones humides du Nord, là où le sol est spongieux et l’air embaume le sapin et la mousse.
Chaque été, des cueilleurs comme ceux de Gourmet Sauvage ou Toundra récoltent délicatement ses feuilles, riches en huiles essentielles. Il faut un œil attentif et beaucoup de respect : on ne coupe jamais toute la branche, on laisse la plante se régénérer naturellement.
Une fois séché, le myrique révèle tout son potentiel : notes balsamiques, citronnées et résineuses, parfaites pour les marinades, les sirops ou… les sauces piquantes !
C’est ce parfum boisé que nous infusons dans notre sauce à burger boréale, pour rappeler le goût du grand air à chaque bouchée.
Plus qu’un ingrédient, le myrique baumier, c’est une connexion directe avec la forêt québécoise.
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